Selon l’Association portugaise des professionnels de l’immobilier, les français sont les premiers acheteurs étrangers au Portugal. Les français investissant dans l’immobilier au Portugal représentent 25% des 13.064 non-résidents qui ont acheté de l’immobilier au Portugal au cours du premier trimestre de 2016.
Une fois la propriété trouvée, l’acheteur signe avec l’aide d’un avocat, une promesse d’achat qui peut être réciproque, semblable au compromis de vente, ou unilatérale avec conditions suspensives. Dans tous les cas, elle est assortie du versement d’un dépôt de garantie (au minimum 10 % du prix) qui resteront acquises au vendeur si vous vous désistez sans raison valable. La transaction ne deviendra définitive que lors de la signature de l’acte dressé par un notaire chargé d’établir la situation cadastrale et hypothécaire, l’existence d’éventuelles servitudes et règles d’urbanisme, et inscrit la vente au registre foncier.
Tout comme en France, l’acquéreur supporte les frais d’acte et d’inscription. Les droits de mutation progressifs varient entre 1 et 8 %. A titre d’exemple, le fisc prélèvera 5.840 euros de droits pour un bien d’une valeur de 200 000 euros. Les frais fixes et honoraires du notaire s’ajoutent à ce montant.
Concernant le financement, la mise en place d’un prêt hypothécaire consenti par un établissement bancaire français reste le moyen le plus sûr de financer un achat immobilier au Portugal. Le contrat de prêt est rédigé en français et les fonds sont débloqués sous le contrôle d’un notaire français.
Un prêt hypothécaire pour l’achat d’une villa ou d’un appartement au Portugal s’adresse aux propriétaires d’un bien immobilier situé en France. Il peut s’agir d’une résidence principale, d’une résidence secondaire ou locative qui sera alors donnée en garantie déplacée.
Le fonctionnement du prêt sera semblable à un prêt immobilier classique.
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